Grand concert de gala des 70 ans, le 11 mai 2019 |
"Du grégorien, du plain-chant et de la musique sacrée des origines, le répertoire la Schola s’est ouvert progressivement à la musique classique et romantique, aux musiques du monde et enfin aux oeuvres les plus contemporaines.
70 ans d’évolution et de décloisonnement des genres musicaux qui aboutissent aujourd’hui à une surprenante production de concerts au programme très varié, bien dans "l’air du temps", qui ravit tous les publics.
C’est notre manière de participer au renouveau de l’Art Choral."
C'est dans cet état d'esprit que notre cheffe de choeur Cécile GRANDMONT et sa Schola Camille Jacquemin ont abordé la préparation de ce grand concert de gala.
Concert de gala, vous dites ?
Oui, car célébrer un anniversaire comme celui-là méritait un concert d'envergure, varié et même festif, et non autour d'un thème musical particulier.
La cheffe de choeur a donc balayé large en gardant à l'esprit qu'il sera impossible d'être exhaustive, tant notre répertoire est étendu (la coupure de presse ci-dessous en fait état).
Un des moments singuliers a été la reconstitution de la Schola d'il y a une trentaine d'années, avec le nombre d'exécutants d'autrefois - entre 20 et 30 choristes en concert - et une oeuvre sacrée de la Renaissance au programme à cette époque, l'Ave Maria de Jacques Arcadelt.
On notera au passage qu'une petite moitié des choristes "reconstituants" étaient déjà présents à la Schola voici au moins 30 ans, c'est dire toute la fidélité et l'attachement de nos membres pour notre troupe septantenaire.
Il y a eu des moments de grande envolée, des parties de solistes et instrumentistes chatoyantes, des moments de recueillement, mais aussi des oeuvres contemporaines dites "de grand public" telle de la douce égérie de la New Age Enya, du thème du 23ème film de James Bond "Skyfall" ou encore du sulfureux groupe Queen.
Concert de gala s'entendant, il s'est terminé dans la joie et la bonne humeur avec une scénographie originale par nos deux présentatrices de charme Elodie et Clémentine, habillées pour la circonstance grâce au talent d'Anne Lekime et Anne Vanacker (voir le diaporama ci-dessous), pour se terminer enfin par l'oeuvre incontournable d'allégresse, l' "Halleluiah !" de Haendel.
Merci à vous, cher public, d'être venus si nombreux. Vos applaudissements chaleureux ont été de vrais encouragements à progresser encore et encore. Vous avez cru en notre capacité de vous donner un spectacle de qualité puisque vous avez réservé les 280 places disponibles en quelques jours !
Vous n'avez pas été déçus, la "stand ovation" finale en a été la preuve !
Article de Benoît GUEUNING, Avenir du Luxembourg, le 24 avril 2019, qui occupait une page entière !
Une petite rectification s'impose : en 2017, ce n'est pas un accident de voiture qui a causé le décès de Jules GRANDMONT en Bretagne.
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